Echo

Echo – Sculpture by Addé 2019

 
Echo

Echo was a beautiful nymph and Artemis’ favourite.

She was eloquent, excelling at disserting, and would always have the last word.

Zeus then asked her to distract his wife Juno, looking for him, while he was frolicking with the nymphs, contrived to detain the goddess till the joyful group scampered away.

When Juno discovered it, she passed sentence upon Echo to « still have the last word, but no power to speak first ».

She was condemned to only repeat the last word she would hear.

When she fell in love with Narcissus, as he was calling for her, all she could say was the last word he said.

Since then, hikers will hear Echo responding to their call…

Please read more about Echo’s story and Narcissus at “La Audacia de Aquiles” Greek Mythology: “Narcissus and Echo” (Interpretation and Psychoanalytical Corollaries) by Amalia Pedemonte.

 

 
Echo, sculpture, Addé, African Homage

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Echo © Addé 2019 – photos Xea B.

 

A sculpture to celebrate a beautiful yet unfortunate nymph, nymph, nymph…

 
 

4 comments… add one
  • johncoyote Feb 21, 2019 @ 18:31

    Thank you for sharing the wonderful story. Myth and tale is my favorite. The word “Echo” had a different meaning for me.

    • Addé Feb 22, 2019 @ 1:07

      My pleasure ! Mythology is much more present than thought, even in everyday life…

  • loisobleu Feb 25, 2019 @ 14:59

    En écho…
    LA BELLE QUE VOILA

    quand l’âge aura flétri ces yeux et cette bouche quand trop de souvenirs alourdiront ce cœur quand il ne restera pour bercer dans sa couche ce corps aujourd’hui beau que des
    spectres moqueurs

    quand la poussière infecte en recouvrant les choses vêtira d’un linceul les désirs abolis quand l’amour plus fané qu’en un livre une rose ne sera plus qu’un nom sous des
    portraits pâlis

    quand il sera trop tard pour n’être plus cruelle quand l’écho des baisers et l’écho des serments
    Décroîtront comme un pas la nuit dans une ruelle ou le sifflet d’un train vers le noir firmament

    quand sur les seins pendants le ventre qui se ride
    Les mains aux doigts séchés durcies par les passions
    Et lasses d’essuyer trop de larmes acides
    Referont le bilan de leur dégradation

    quand nul fard ne pourra mentir à ce visage
    S’il se penche au miroir jadis trop complaisant
    Pour se désaltérer comme au lac d’un mirage
    Aux rêves du passé revécus au présent

    La belle que voilà restera belle encore
    Par la vertu d’un feu reflété constamment aux vitres d’un château dont les salles sonores seront hantées par ceux qui furent ses amants

    La belle que voilà ainsi qu’une fontaine
    Dont le flot toujours pur sur les marbres disjoints
    S’écoule en entraînant d’ineffables sirènes
    Pour perdre sa splendeur ne renoncera point

    Bien ne disparaîtra des ciels qui se reflètent
    Malgré la peau fripée et malgré les reins plats
    Restera jalousée et présente à la fête
    Jeune éternellement la belle que voilà

    Tant de cceurs ont battu jadis à son attente qu’une flamme est enclose en ce corps sans raison qu’indigne de ces feux elle reste éclatante
    Ainsi qu’à l’incendie survivent les tisons

    Beauté
    Robert Desnos

    • Addé Feb 25, 2019 @ 20:09

      Et patin turnette et patin turnin, il me faut mon kil de vin
      Jacques Audiberti

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