La cattiva strada, a song by Fabrizio de André is about what morals, moralists, call the wrong way, implicitly the bad road in a moral sense.
Author Cesare Romana commented on “La cattiva strada” as the philosophy of a great moralist disguised as an “immoralist”.
Do we have a moral sense ?
Is wrong doing wrong, or is it a way to perceive what should be right ?
The concept of right or wrong has always been an important matter through times.
Philosophy, religion, psychology are speculating the matter as a fundament of any form of society, being well understood there is an individual and a collective consciousness which both possess some elasticity.
Moral sentimentalism is a theory of the origin of our concepts and/ or judgments about morality, about vice and virtue, good and evil, right and wrong. It has been exposed and described in the XVIIIth century.
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La cattiva strada, une chanson de Fabrizio de André parle de ce que les moralistes appellent la voie mauvaise, implicitement le mauvais chemin au sens moral.
L’auteur Cesare Romana a commenté “La cattiva strada” comme la philosophie d’un grand moraliste déguisé en immoraliste.
Avons-nous un sens moral ?
Est-ce mal de faire le mal, ou est-ce une façon de percevoir ce qui devrait être bien?
La notion de bien ou de mal a toujours été une question importante au fil du temps.
La philosophie, la religion, la psychologie spéculent la question en tant que fondement de toute forme de société, étant bien compris qu’il existe une conscience individuelle et une conscience collective, qui toutes deux, possèdent une certaine élasticité.
Le sentimentalisme moral est une théorie de l’origine de nos conceptions et/ou jugements sur la moralité, le vice et la vertu, le bien et le mal, le juste et l’injuste. Elle a été exposée et décrite au XVIIIe siècle.
Cette sculpture parle de la cattiva strada, ma questa non c’è la via Gluck !
This sculpture is about la cattiva strada, ma questa non c’è la via Gluck !